Encontrados 8207 resultados para: est

  • Les gens du lieu le questionnaient sur sa femme, il disait : " C'est ma s?ur " ; car il craignait de dire : " Ma femme ", de peur, pensait-il, que les gens du lieu ne me tuent à cause de Rebecca ", car elle était belle de figure. (Genèse 26, 7)

  • Abimélech appela Isaac et dit: " Elle ne peut être que ta femme ; comment as-tu dit : C'est ma soeur? " Isaac lui répondit : " C'est que je me disais : je crains de mourir à cause d'elle. " (Genèse 26, 9)

  • Et Abimélech dit : " Qu'est-ce que tu nous as fait ? Car peu s'en est fallu qu'un homme du peuple couche avec ta femme, et tu aurais fait venir sur nous un péché. " (Genèse 26, 10)

  • Et les bergers de Gérare se querellèrent avec les bergers d'Isaac, en disant : " L'eau est à nous. " (Genèse 26, 20)

  • Ils répondirent: " Nous avons vu clairement que Yahweh est avec toi, et nous avons dit : Qu'il y ait un serment entre nous, entre nous et toi, et que nous fassions une alliance avec toi. (Genèse 26, 28)

  • Isaac leur fit un festin, et ils mangèrent et burent. (Genèse 26, 30)

  • Et il appela le puits Schibéa. C'est pour cela que la ville se nomme Bersabée jusqu'à ce jour. (Genèse 26, 33)

  • Ja­cob répondit à Rebecca, sa mère: " Voici, Esaü, mon frère, est velu, et moi j'ai la peau lisse. (Genèse 27, 11)

  • Isaac dit à son fils : " Comment as-tu trouvé si vite, mon fils? " Jacob, répondit : " C'est que Yahweh, ton Dieu, l'a fait venir devant moi. " (Genèse 27, 20)

  • Jacob s'étant approché d'Isaac, son père, celui-­ci le toucha et dit : " La voix est la voix de Jacob, mais les mains sont les mains d'Esaü. " (Genèse 27, 22)

  • Il dit " C'est bien toi qui es mon fils Esaü? " (Genèse 27, 24)

  • -"C'est moi", répondit Jacob. Et Isaac dit : " Sers-moi, que je mange du gibier de mon fils et que mon âme te bénisse. " Jacob le servit, et il mangea ; il lui pré­senta aussi du vin, et il but. (Genèse 27, 25)


“As almas não são oferecidas como dom; compram-se. Vós ignorais quanto custaram a Jesus. É sempre com a mesma moeda que é preciso pagá-las”. São Padre Pio de Pietrelcina