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Qui en effet peut, sans lui, manger et jouir du bien-être? (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 25)
Car qui sait, en effet, ce qui est bon pour l'homme dans la vie, pendant les jours de sa vie de vanité, qu'il passe comme une ombre? Et qui peut indiquer à l'homme ce qui sera après lui sous le soleil? (Ecclésiaste (or Qohélet) 6, 12)
La parole du roi, en effet, est souveraine, et qui lui dira: "Que fais-tu?" (Ecclésiaste (or Qohélet) 8, 4)
Il y a en effet, pour toute chose, un temps et un jugement, car il est grand le mal qui tombera sur l'homme. (Ecclésiaste (or Qohélet) 8, 6)
En effet, j'ai pris tout ceci à c?ur, et j'ai observé tout ceci: Que les justes et les sages et leurs ?uvres sont dans la main de Dieu; l'homme ne connaît ni l'amour, ni la haine: tout est devant eux. (Ecclésiaste (or Qohélet) 9, 1)
Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront, mais les morts ne savent rien, et il n'y a plus pour eux de salaire; car leur mémoire est oubliée. (Ecclésiaste (or Qohélet) 9, 5)
Où l'on redoute les lieux élevés, où l'on a des terreurs dans le chemin, où l'amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers sa maison d'éternité, et les pleureurs parcourent les rues. (Ecclésiaste (or Qohélet) 12, 5)
En effet, les pensées perverses séparent de Dieu, et sa puissance, quand on la met à l'épreuve, accuse les insensés. (Sagesse 1, 3)
En effet, la Sagesse est un esprit qui aime les hommes, et il ne laisse pas impuni le blasphémateur pour ses discours, car Dieu est le témoin de ses reins, le véritable scrutateur de son c?ur, et il entend ses paroles. (Sagesse 1, 6)
Mais les impies appellent la mort du geste et de la voix; la regardant comme une amie, ils se passionnent pour elle, ils font alliance avec elle, et ils sont dignes, en effet, de lui appartenir. (Sagesse 1, 16)
En effet, l'espoir de l'impie est comme le duvet que le vent emporte, comme le givre léger que disperse l'ouragan, comme la fumée qu'un souffle dissipe, comme le souvenir de l'hôte d'un jour qui s'évanouit. (Sagesse 5, 14)
En effet, son commencement le plus assuré est le désir de l'instruction. (Sagesse 6, 17)
