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  • Que mon seigneur prenne les devants sur son serviteur, et moi, je sui­vrai doucement, au pas du troupeau qui marche devant moi, et au pas des en­fants, jusqu'à ce que j'arrive chez mon seigneur, à Séir. " (Genèse 33, 14)

  • A son retour de Paddan-Aram, Jacob arriva heureusement à la ville de Si­chem, au pays de Chanaan, et il campa devant la ville. (Genèse 33, 18)

  • Leurs troupeaux et leurs biens et toutes leurs bêtes de somme ne seront-­ils pas à nous? Seulement, accédons à leur désir et qu'ils s'établissent chez nous. " (Genèse 34, 23)

  • Ils emmenèrent comme butin tous leurs biens, leurs enfants et leurs femmes, et tout ce qui se trouvait dans les mai­sons. (Genèse 34, 29)

  • Jacob dit à sa famille et à tous ceux qui étaient avec lui : " Citez les dieux étrangers qui sont au milieu de vous ; purifiez-vous et chan­gez de vêtements. (Genèse 35, 2)

  • Et dans le lieu où il lui avait parlé, Jacob dressa un monu­ment de pierre, sur lequel il fit une liba­tion et versa de l'huile. (Genèse 35, 14)

  • Ils partirent de Béthel. Il y avait en­core une certaine distance avant d'arri­ver à Ephrata, lorsque Rachel enfanta, et son accouchement fut pénible. (Genèse 35, 16)

  • Pen­dant les douleurs de l'enfantement, la sage-femme lui dit : " Ne crains point, car c'est encore un fils que tu vas avoir. " (Genèse 35, 17)

  • Ja­cob éleva un monument sur sa tombe ; c'est le monument de la Tombe de Rachel, qui subsiste encore aujourd'hui. (Genèse 35, 20)

  • Ses frères, voyant que leur père l'aimait plus qu'eux tous, le prirent en haine, et ils ne pouvaient plus lui parler amicalement. (Genèse 37, 4)

  • quand les marchands madianites passèrent, ils tirèrent Joseph et le firent remonter de la citerne; et ils le vendirent pour vingt pièces d'argent aux Ismaélites, qui l'emmenèrent en Egypte. (Genèse 37, 28)

  • Il déchira ses vêtements et, étant retourné vers ses frères, il dit : " L'enfant n'y est plus, et moi, où irai-je? " (Genèse 37, 30)


“É necessário manter o coração aberto para o Céu e aguardar, de lá, o celeste orvalho.” São Padre Pio de Pietrelcina