Encontrados 2160 resultados para: Lorsqu'elle

  • car ils ne pouvaient supporter cette défense " Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée. " (Hébreux 12, 20)

  • Ainsi, puisque nous rentrons en posses-sion d'un royaume qui ne sera point ébran-lé, retenons fermement la grâce ; par elle rendons à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte. (Hébreux 12, 28)

  • Si la sagesse fait défaut à quelqu'un d'entre vous, qu'il la demande à Dieu, lequel donne à tous simplement, sans rien reprocher ; et elle lui sera donnée. (Jacques 1, 5)

  • Que nul, lorsqu'il est tenté, ne dise : " C'est Dieu qui me tente " ; car Dieu ne saurait être tenté de mal, et lui-même ne tente personne. (Jacques 1, 13)

  • Ensuite la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché, et le péché, lorsqu'il est consommé, engendre la mort. (Jacques 1, 15)

  • Mais si vous faites acception des personnes, vous commettez un péché, et la loi elle-même vous condamne comme transgresseurs. (Jacques 2, 9)

  • Il en est de même de la foi : si elle n'a pas les oeuvres, elle est morte en elle-même. (Jacques 2, 17)

  • Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les oeuvres, lorsqu'il offrit son fils Isaac sur l'autel? (Jacques 2, 21)

  • De même Rahab, la courtisane, ne fut-elle pas justifiée par les oeuvres, quand elle reçut les envoyés de Josué et les fit partir par un autre chemin? (Jacques 2, 25)

  • Ainsi la langue est un tout petit membre; mais de quelles grandes choses elle peut se vanter! Voyez, une étincelle peut embraser une grande forêt ! (Jacques 3, 5)

  • La langue aussi est un feu, un monde d'iniquité. N'étant qu'un de nos membres, la langue est capable d'infecter tout le corps; elle e enflamme le cours de notre vie, enflammée qu'elle est elle-même du feu de l'enfer. (Jacques 3, 6)

  • Mais la langue, aucun homme ne peut la dompter : c'est un fléau qu'on ne peut arrêter; elle est remplie d'un venin mortel. (Jacques 3, 8)


“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina