Encontrados 1530 resultados para: mal

  • Si l'on offre du petit bétail, mâle ou femelle, en sacrifice de communion, on présentera à Yahvé une bête sans défaut. (Lévitique 3, 6)

  • il amènera pour son offrande un bouc mâle sans défaut, dès qu'il se sera rendu compte du péché qu'il a commis. (Lévitique 4, 23)

  • Ou bien quelqu'un a touché une chose impure: cadavre d'animal impur, cadavre d'animal domestique impur, cadavre de bête impure: il est lui-même impur et en faute, même s'il l'a fait involontairement. (Lévitique 5, 2)

  • Ou encore quelqu'un a parlé sans réfléchir et a juré de faire du bien ou du mal, ou tout autre chose où l'homme peut parler sans réfléchir. Dès qu'il s'en rend compte il est en faute. (Lévitique 5, 4)

  • Tout mâle parmi les enfants d'Aaron pourra en manger. C'est une loi perpétuelle pour vos descendants, concernant les offrandes faites par le feu en l'honneur de Yahvé. Seuls les hommes consacrés pourront y toucher." (Lévitique 6, 11)

  • Tout mâle parmi les prêtres en mangera: c'est une chose très sainte. (Lévitique 6, 22)

  • Tout mâle parmi les prêtres en mangera. Il le mangera dans un lieu pur, car c'est une part sainte. (Lévitique 7, 6)

  • Celui qui touchera quelque chose d'impur, que ce soit une souillure d'homme ou d'animal, ou toute autre chose impure, et qui mangera la viande du sacrifice de communion qui appartient à Yahvé, sera retranché de son peuple." (Lévitique 7, 21)

  • La graisse d'un animal mort ou déchiqueté servira pour n'importe quel usage, mais vous n'en mangerez pas. (Lévitique 7, 24)

  • Vous pourrez manger de tout animal qui a le sabot divisé, le pied fourchu et qui rumine, (Lévitique 11, 3)

  • Tout animal qui a le sabot divisé mais qui n'a pas le pied fourchu et qui ne rumine pas, sera impur à vos yeux. Si quelqu'un le touche il sera impur. (Lévitique 11, 26)

  • Vous ferez la différence entre ce qui est impur et ce qui est pur, entre l'animal que l'on peut manger et celui que l'on ne doit pas manger." (Lévitique 11, 47)


“Não se desencoraje, pois, se na alma existe o contínuo esforço de melhorar, no final o Senhor a premia fazendo nela florir, de repente, todas as virtudes como num jardim florido.” São Padre Pio de Pietrelcina