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Lamentations, 1

4. Les chemins de Sion sont en deuil, parce qu'il n'y a plus personne qui vienne aux solennités; toutes ses portes sont détruites, ses prêtres gémissent; ses vierges sont défigurées, et elle est elle-même accablée d'amertume.

Versículos relacionados com Lamentations, 1:

Lamentations 1 est le premier chapitre du Livre des lamentations, qui présente une collection de poèmes qui expriment une profonde tristesse et regret pour la destruction de Jérusalem et la souffrance du peuple de Juda. Le chapitre 1 présente Jérusalem personnifiée comme une femme solitaire et abandonnée qui souffre de punition divine pour ses péchés. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans les lamentations 1:

Ésaïe 64:10: "Vos villes saintes sont devenues désertes; Sion est devenue déserte, Jérusalem à Sillow." Ce verset décrit la destruction des villes sacrées et la désolation de Jérusalem, qui est un thème central des lamentations 1.

Psaume 137:1: "À côté des rivières de Babylone, nous nous installons et pleurons, quand nous nous souvenons de Sion." Ce verset montre la douleur et la tristesse des exilés à Babylone, qui se souviennent de leur patrie et pleurent pour la perte de Jérusalem.

Ésaïe 51:19: "Ces deux choses vous sont venues, qui sera-t-elle compassionnée? Ce verset montre la tristesse de Dieu pour la souffrance de Jérusalem et le sentiment d'impuissance face à la destruction.

Psaume 22:1: "Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? Pourquoi te endure-tu de mon aide et des paroles de mon grosseur?" Ce verset exprime le sentiment d'abandon et de solitude que Jérusalem éprouve, personnifiée comme une femme solitaire dans les lamentations 1.

Jérémie 9:1: "Ah! Je m'avais donné une cabane dans le désert pour pèlerifier mon peuple! Parce qu'ils sont tous des adulcers, un tas de traîtres." Ce verset exprime le désir d'isolement face à la corruption et à l'infidélité du peuple, un thème présent dans les lamentations 1.





“As almas não são oferecidas como dom; compram-se. Vós ignorais quanto custaram a Jesus. É sempre com a mesma moeda que é preciso pagá-las”. São Padre Pio de Pietrelcina