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  • il arriva qu'ils firent la guerre à Bara, roi de Sodome, à Bersa, roi de Gomorrhe, à Sennaab, roi d'Ada­ma, à Séméber, roi de Séboïm, et au roi de Bala qui est Ségor. (Genèse 14, 2)

  • Ces derniers s'assemblèrent tous dans la vallée de Siddim, qui est la mer Salée. (Genèse 14, 3)

  • et les Horréens dans leur montagne de Séir, jusqu'à El-Pharan, qui est près du désert. (Genèse 14, 6)

  • Puis, s'en retournant, ils arrivèrent à la fontaine du jugement, qui est Codés, et ils battirent tout le pays des Amalécites, ainsi que les Amor­rhéens qui habitaient à Asason-Thamar. (Genèse 14, 7)

  • Alors le roi de Sodome s'avança avec le roi de Gomorrhe, le roi d'Adama, le roi de Séboïm et le roi de Bala, qui est Sé­gor, (Genèse 14, 8)

  • le reste s'enfuit dans la montagne. Les vain­queurs enlevèrent tous les biens de So­dome et de Gomorrhe et tous leurs vivres, et ils s'en allèrent. (Genèse 14, 11)

  • Là, ayant partagé sa troupe pour les attaquer de nuit, lui et ses serviteurs, il les battit et les poursuivit jusqu'à Hoba, qui est à gauche de Damas. (Genèse 14, 15)

  • Comme Abram revenait vainqueur de Chodorlahomor et des rois qui étaient avec lui, le roi de Sodome sortit à sa ren­contre, dans la vallée de Savé ; c'est la vallée du Roi. (Genèse 14, 17)

  • Abram répondit : " Seigneur Yahweh, que me donnerez-vous? je m'en vais sans enfants, et l'héritier de ma mai­son, c'est Eliézer de Damas. " (Genèse 15, 2)

  • Alors la parole de Yahweh lui fut adressée en ces termes : " Ce n'est pas lui qui sera ton héritier, mais celui qui sortira de tes en­trailles sera ton héritier. " (Genèse 15, 4)

  • A la quatrième génération ils reviendront ici; car jusqu'à présent l'iniquité de l'Amorrhéen n'est pas à son comble. " (Genèse 15, 16)

  • Saraï dit à Abram : " L'outrage qui m'est fait tombe sur toi. J'ai mis ma servante dans ton sein et, quand elle a vu qu'elle avait conçu, elle m'a regardée avec mépris. Que Yah­weh juge entre moi et toi ! " (Genèse 16, 5)


“Não se desencoraje, pois, se na alma existe o contínuo esforço de melhorar, no final o Senhor a premia fazendo nela florir, de repente, todas as virtudes como num jardim florido.” São Padre Pio de Pietrelcina