12. Car chaque ville était remplie de la frayeur de la mort, et la main de Dieu s'appesantissait lourdement. Ceux qui n'en mourraient pas étaient frappés dans les secrètes parties du corps, et les cris de chaque ville montaient jusqu'au ciel.





“Meu Deus, perdoa-me. Nunca Te ofereci nada na minha vida e, agora, por este pouco que estou sofrendo, em comparação a tudo o que Tu sofreste na Cruz, eu reclamo injustamente!” São Padre Pio de Pietrelcina