Fundar 1902 Resultados para: Terre

  • Le début de son royaume fut Babylone, et Arach, et Achad, et Chalanné dans la terre de Sennaar. (Genèse 10, 10)

  • Héber eut deux fils: l'un s'appela Phaleg, parce que de son temps la terre fut divisée; et son frère s'appelait Jectan. (Genèse 10, 25)

  • Ce sont là les familles des enfants de Noé, selon leurs peuples et leurs nations. Et c'est de ces familles que se sont formés tous les peuples de la terre après le déluge. (Genèse 10, 32)

  • La terre n'avait alors qu'une seule langue et qu'une même manière de parler. (Genèse 11, 1)

  • Ils s'entre-dirent encore: Venez, faisons-nous une ville et une tour dont le sommet touche le ciel; et rendons notre nom célèbre avant que nous nous dispersions en toute la terre. (Genèse 11, 4)

  • C'est aussi pour cette raison que cette ville fut appelée Babel, parce que c'est là que fut confondu le langage de toute la terre. Et le Seigneur les dispersa ensuite dans toutes les régions. (Genèse 11, 9)

  • Or le Seigneur dit à Abram: Sortez de votre pays, de votre parenté, et de la maison de votre père, et venez en la terre que Je vous montrerai. (Genèse 12, 1)

  • Je bénirai ceux qui vous béniront, et Je maudirai ceux qui vous maudiront; et tous les peuples de la terre seront bénis en vous. (Genèse 12, 3)

  • C'est pourquoi il s'excita une querelle entre les pasteurs d'Abram et ceux de Lot. En ce temps-là les Chananéens et les Phérézéens habitaient en cette terre. (Genèse 13, 7)

  • Abram demeura dans la terre de Chanaan, et Lot dans les villes aux environs du Jourdain; et il habita dans Sodome. (Genèse 13, 12)

  • Je multiplierai votre race comme la poussière de la terre. Si quelqu'un d'entre les hommes peut compter la poussière de la terre, il pourra compter aussi la suite de vos descendants. (Genèse 13, 16)

  • Levez-vous, et parcourez toute l'étendue de cette terre dans sa longueur et dans sa largeur, parce que Je vous la donnerai. (Genèse 13, 17)


“Seja grato e beije docemente a mão de Deus. É sempre a mão de um pai que pune porque lhe quer bem” São Padre Pio de Pietrelcina