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Que la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec votre esprit. Amen. (Philémon 1, 25)
Mais Celui qui avait été abaissé pour un peu de temps au-dessous des Anges, c'est-à-dire Jésus, nous Le voyons, à cause de Ses souffrances et de Sa mort, couronné de gloire et d'honneur, afin que, par la grâce de Dieu, Il goûtât la mort pour tous. (Hébreux 2, 9)
C'est pourquoi, frères saints, qui avez part à la vocation céleste, considérez l'apôtre et le pontife de la foi que nous professons, Jésus, (Hébreux 3, 1)
Mais le Christ a été fidèle en qualité de Fils, sur Sa maison; et cette maison, c'est nous, pourvu que nous retenions fermes jusqu'à la fin la confiance, et la gloire que nous espérons. (Hébreux 3, 6)
Car nous sommes devenus participants du Christ, pourvu, toutefois, que nous retenions fermement jusqu'à la fin la foi que nous avions en Lui au commencement. (Hébreux 3, 14)
Ayant donc un grand pontife qui a pénétré dans les Cieux, Jésus, Fils de Dieu, demeurons fermes dans la profession de notre foi. (Hébreux 4, 14)
Et ainsi le Christ ne S'est point arrogé à Lui-même la dignité de pontife, mais Il l'a reçue de Celui qui Lui a dit: Tu es mon Fils, Je T'ai engendré aujourd'hui. (Hébreux 5, 5)
C'est pourquoi, laissant les éléments de ce qu'il y a à dire sur le Christ, élevons-nous à ce qui est plus parfait, sans poser de nouveau les principes fondamentaux de la pénitence pour les oeuvres mortes, de la foi en Dieu, (Hébreux 6, 1)
où Jésus, comme précurseur, est entré pour nous, ayant été fait pontife pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisédech. (Hébreux 6, 20)
Jésus est par cela même le garant d'une meilleure alliance. (Hébreux 7, 22)
Mais le Christ étant venu comme pontife des biens futurs, a traversé un tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'a pas été fait de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'appartient point à cette création, (Hébreux 9, 11)
combien plus le sang du Christ, qui par l'Esprit-Saint S'est offert Lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il notre conscience des oeuvres mortes, pour que nous servions le Dieu vivant? (Hébreux 9, 14)