Encontrados 13 resultados para: Joïakin
Joïaqim se coucha avec ses pères, et Joïakin, son fils, régna à sa place. (2 Rois 24, 6)
Joïakin avait dix-huit ans lorsqu'il monta sur le trône, il régna trois mois à Jérusalem; sa mère Néhouchta était fille d'Elnatan de Jérusalem. (2 Rois 24, 8)
Joïakin, roi de Juda, sortit pour se rendre au roi de Babylone avec sa mère, ses serviteurs, ses chefs et ses eunuques; le roi de Babylone le fit prisonnier la huitième année de son règne. (2 Rois 24, 12)
Il déporta Joïakin à Babylone; il fit partir en déportation de Jérusalem vers Babylone, la mère du roi, ses femmes, ses eunuques et les personnages importants du pays. (2 Rois 24, 15)
Le roi de Babylone établit comme roi à la place de Joïakin son oncle Mattanya dont il changea le nom en Sédécias. (2 Rois 24, 17)
En la trente-septième année de la déportation de Joïakin, roi de Juda, au douzième mois, le vingt-sept du mois, Evil-Mérodak, roi de Babylone, fit grâce à Joïakin, roi de Juda, et le sortit de prison. Evil-Mérodak, qui était monté sur le trône cette année-là, (2 Rois 25, 27)
se lia d'amitié avec Joïakin, il plaça son trône au-dessus des trônes des autres rois déportés avec lui à Babylone. (2 Rois 25, 28)
Il lui fit enlever ses vêtements de prisonnier, et désormais, jusqu'à la fin de sa vie, Joïakin prit ses repas à la table du roi. (2 Rois 25, 29)
Le reste des actes de Joïaqim, ses pratiques honteuses et ce qu'elles lui valurent, cela est écrit dans le livre des rois d'Israël et de Juda. Joïakin, son fils, régna à sa place. (2 Chroniques 36, 8)
Joïakin avait dix-huit ans lorsqu'il monta sur le trône, il régna trois mois et dix jours à Jérusalem. Il fit ce qui est mal au regard de Yahvé. (2 Chroniques 36, 9)
Mais le vingt cinq du douzième mois, en la trente-septième année de la déportation de Joiakin, roi de Juda, Evil-Mérodak, roi de Babylone, qui venait de monter sur le trône, libéra Joiakin et le fit sortir de prison. (Jéremie 52, 31)
Joiakin quitta ses habits de prisonnier et mangea tous les jours à la table du roi, jusqu'à sa mort. (Jéremie 52, 33)
