Bíblia Católica
 

2 Samuel, 24

21. Aravna dit: Pourquoi mon seigneur le roi vient-il vers son serviteur? Et David répondit: Pour acheter de toi l`aire et pour y bâtir un autel à l`Éternel, afin que la plaie se retire de dessus le peuple.

Versículos relacionados com 2 Samuel, 24:

Dans le chapitre 24 de 2 Samuel, David ordonne un recensement à se tenir en Israël et à Juda, ce qui déplace Dieu. En tant que punition, Dieu envoie une peste qui tue de nombreux Israélites. David se repent et offre des sacrifices pour apaiser la colère de Dieu. Vous trouverez ci-dessous cinq versets liés aux sujets abordés dans le chapitre:

1 Chroniques 21:7: "C'est mécontent de Dieu, et il s'est blessé à Israël." Ce verset montre la colère de Dieu sur le recensement que David a commandé.

2 Samuel 24:10: "David a ressenti des remords après avoir dit au peuple et dit au Seigneur:" J'ai fait une grande erreur. Maintenant, Seigneur, pardonne la culpabilité de ce serviteur, car j'agisse bêtement. " Ce verset montre le regret de David pour sa décision de le dire au peuple.

2 Samuel 24:15: "Alors le Seigneur a envoyé un ange, et il a détruit toute l'armée des Assyriens, y compris le camp et le peuple." Ce verset montre comment Dieu est intervenu pour sauver son peuple de la peste qu'il avait envoyée.

2 Samuel 24:24: "Non! Je veux l'acheter pour sa juste valeur. Je n'offrirai pas le Seigneur mon Dieu, une offre brûlée qui ne m'a rien coûté." Ce verset montre l'attitude de David envers les sacrifices qu'il a offerts à Dieu comme une forme de repentir.

2 Samuel 24:25: "David a construit un autel au Seigneur et a offert une offre brûlée et des offres de paix. Ensuite, le Seigneur a répondu à ses prières en faveur de la terre, et la peste en Israël a été interrompue." Ce verset montre comment les prières de David et ses sacrifices ont été acceptées par Dieu et comment la peste a été interrompue.





“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina